De nombreuses raisons peuvent pousser un entrepreneur à s’implanter à l’étranger. Néanmoins, la plupart des chefs d’entreprises ne connaissent pas toutes les étapes à suivre. Il est toutefois crucial de régler quelques formalités pour éviter d’éventuels problèmes. Pour ne rien laisser au hasard, les porteurs de projets doivent absolument solliciter un avocat international.
S’implanter à l’étranger : comment s’y préparer ?
Les chefs d’entreprises auront tout d’abord à contacter de nombreux établissements comme Ubifrance. Cette structure fournit de précieuses informations aux professionnels qui désirent s’implanter à l’étranger. Selon le pays choisi, il faudra aussi s’adresser à la Compagnie française d’assurance pour le commerce extérieur (COFACE) pour sécuriser son investissement.
L’entrepreneur devra réaliser une étude de marché en bonne et due forme. Par ailleurs, il est également crucial de choisir un mode d’implantation. De nombreuses solutions se présentent au principal intéressé pour ne citer que le rachat d’une entreprise, la création d’une filiale ou d’une succursale ou encore l’établissement d’un joint-venture.
Ces options représentent une forme juridique particulière. Pour faire le bon choix, il est conseillé de solliciter un avocat international. Celui-ci expliquera à son client les avantages et les inconvénients de chacune de ces alternatives. En outre, ce juriste pourra se rendre dans le pays hôte pour accomplir toutes les démarches nécessaires.
Créer une société à l’étranger n’est pas une mince affaire. Les barrières de la langue, mais également le droit coutumier local rendent la tâche difficile. C’est pour cette raison qu’un avocat devra intervenir pour régler toutes les formalités.
Un avocat qualifié : une valeur sûre pour s’ouvrir à l’international
S’implanter à l’étranger obligera les entrepreneurs à tisser des relations d’affaires avec des partenaires extranationaux. Dans ce sens, la rédaction de contrats internationaux prend une autre dimension. En effet, ces actes permettent à l’établissement de profiter de certaines garanties. En sollicitant un avocat, on s’assure que les intérêts de la société ne sont pas menacés. Le juriste interviendra avant la signature des contrats avec des acteurs commerciaux étrangers. Il examinera les clauses contractuelles afin que la compagnie ne soit pas lésée.
La législation dans quelques pays est assez difficile à cerner. Pourtant, elle peut s’appliquer aux sociétés françaises dans le cadre de certains litiges. Un expert du droit des affaires internationales sera alors indispensable pour éviter les contentieux. Les règlements à l’amiable doivent être privilégiés. Aller devant les tribunaux serait assez coûteux. En outre, le verdict n’est généralement prononcé qu’après 1 ou 2 ans, ce qui serait dommage si l’on réclame une facture impayée.